18 ans louis
03 mars 2016Vous le savez ou peut-être pas le sieur Louis à 18 ans aujourd’hui.
Ça tombe à pic, et pique et colégrame, mais ça rime aussi. Et la rime je m’y connais, mais ce soir ni rime, ni mime ni même intime, je serais magnanime se sera ultime, limite sublime, bon ! ok je frime, mais tu m’as demandé d’écrire un discours en 1 semaine le défi est relever, la sauce aussi, la saucisse non, sauf si c’est du chorizo, alors ma prose, la voici je la pose.
Ce soir point de quolibets, ni sarcasmes et autres railleries, mon discours ne sera qu’éloges, louanges, compliments, encensements que dis-je panégyrie.
L’expression que je peux entrevoir sur quelques visages fait montre d’un scepticisme inquiétant qui me fait dire que ton entourage n’est pour le moins que peu pourvu d’esprits, mais qu’importe restons courtois avec la plèbe.
Et oui chers gueux avec Louis, il faut de l’esprit et pas que, ….de la conversation aussi, il porte le verbe hauts et la queue basse. Ou le contraire mais ça dépend des circonstances. Bref Louis mérite plus que notre affection. Il mérite, grave comme disent nos fieffés rejetons qui de 50 mots de vocabulaires se contentent. Merci à Louis d’entretenir la flamme de notre remarquable langue françoise, ciment de notre culture nationale.
Mais revenons à Louis, enfin ptit Louis, parce que Louis a été petit, petit déjà, il l’était, l’hiver et au printemps aussi, même si sa taille le contredit, il ne fait donc pas son âge et vice versa, et de vice il l’a aussi, la vis moins, l’outil, mais vous l’avez deviné, plutôt dévissée, et l’avis, sur tout et l’air de rien, il l’a aussi, l’air d’un ahuri aussi mais ça c’est au saut du lit, mais revenons à nos moutons qui ont contribués à l’élaboration du ptit Louis et oui et le fromage. Il en a gardé l’odeur. Elle est restée agrippée à ses chaussettes, tel le cancre là ! Moi, je dis ça, je dis rien, je n’ai jamais partagé sa tente. Carole non plus. Humour familier.
Louis, est aussi un être sensible tel un captain sensible qui say yes qui say wott
Bref ! he say du moins il essaye. Bon ok, la zique année 80, ca ne te parle pas. Toi, tu es musique avec un grand M. La musique tu l’aimes et tu nous le rends bien. Tu grattes la gratte, pianotes le piano et tu chantes, chantes, chantes, tu ne sais pas pourquoi quand tu chantes quand tu chantes, quand tu chantes ça va !
Nana ce n’est pas non plus ta tasse de thé. De toute façon tu n’en bois pas de thé. Ni d’oreillers d’ailleurs. Encore que le polochon est aussi une de tes spécialités. Et de la taie d’oreiller au thé, il n’y a qu’un pas que je franchis, puisque, du thé s’il en boit, ce n’est que la nuit, j’ai une révélation à faire Louis boit le thé tard.
Je m’égare, je me disperse, m’éparpille me dissémine et j’en oublie l’essence, c’est elle ! Non lui ! Non Louis !
Celui qui l’a fine, l’ouïe, oui, Louis à l’ouïe fine. Une sorte d’oreille musicale à lui tout seul, c’est inouï, ça me réjouit, et dans réjouis il y a..... ré, note placée juste sur le dos et sous mi, donc dominée, même si tu as du nez, né, n’est pas une note mais il fallait placer la note à sa place, sur la portée, qu’elle ne soit ni fausse, ni salée, qu’elle soit juste, just ! Le blanc. Humour de diner.
Trêve de galéjade et autres billevesées approximatives, à tous discours, il faut la fin, que j’ai de loup d’ailleurs, je lève mon verre et élève mes vers vers toi, Louis, tu es en somme pour nous tous un être en or. Un Louis d’Or.
C’est pas tout ça mais je vais rentrer, Louis dort déjà !