Un conte, pourquoi conter un conte, pour une comtesse qui compte pour son comte. Elle s'en contentera !
Quiconque écrirait n’importe quoi d’autre qu’un conte, parce qu’un conte ça ne compte guère encore que souvent de retour de guerre le comte reviens même si c’est de prince dont il s’agit usuellement. Là, c’est de comte pour faire meilleur compte. Même si las de guerre le compte revient. Alors compte sur moi, comtesse pour qui tu comptes pour que mon conte ne le règle pas, mon compte. Et je continue, à conter des histoires de conte qui ne compte que pour celui qui l’écrit. Sans contingence, ce conte qui n’en n’est pas un puisqu’il ne compte pour rien n’est que le fruit de mon imagination fertile en ces longues soirées estivales où le soleil se couche aussi tardivement que mes enfants qui comptent aussi parce que je manquais de compte dans cette phrase, il m’en fallait pour que le compte soit bon. Et il est bon, même si de conte il n’est plus guère et puisque je me perds dans mes comptes. Le contexte peut être contraire aux comptines d’antan. C’est à ce moment que tu te rends compte à quel point tu as ton compte parce que ni carrosse, ni citrouille, ni prince et ni Cendrillon mon imagination partira vers d’autres contrées pour te conter à l’avenir un beau conte que nous lirons ensemble tout contre ma comtesse qui compte tant. Et moi avec quelques contes que se soit je suis content. C’est ce qui compte.

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