céline

Même si on ne se connait en définitive que très peu,
Je me permets cette bafouille, quelques mots facétieux,
Qui ne ressemblera certes pas à une épitaphe,
Juste quelques vers, à peine un paragraphe.
Je ne ferais donc pas un résumé de ta carrière,
D’autre sont mieux placé que moi pour le faire.
Juste un petit hommage, à une chef d’agence,
Qui de Villeurbanne à Bron a perpétré l’engeance.
Tu fais manifestement auprès de tes collègues l’unanimité,
De ta gentillesse, ton professionnalisme, ta disponibilité.
Mais cessons là prestement les éloges,
Elle tourne elle tourne toujours aussi vite l’horloge,
Que tu vas rejoindre en septembre à Tassin,
D’une agence qui t’attend et que tu vas prendre en main,
Et pas qu’à demi tu vas leur montrer la lune,
Puisque tous les jours sur le Progrès tu feras la Une.
Je conclurai mon mot par une inspiration,
Une fulgurance, un souffle, une respiration,
L’avoir n’est pas ton fort, il n’est pas dans ton périmètre
Puisque je te crois sincèrement une femme de l’être.